French-Swedish, artist and filmmaker Marie-Cerise works and lives between Paris and New York. Graduate of Ecole des Beaux-Arts de Paris in 1999, she studied with the artist Jean-Michel Alberola.
 MC got her second Master of Arts in Choreography Research at Centre National de Danse Contemporaine in Angers, France. 
Invited for a year, she studied at the Royal Institute of Art in Stockholm for a special animation project.
From the equation image + movement, she focused on filmmaking. MC seeks a convergence between the movement and her plastic work. She directed an experimental animated documentary short film “Motu Proprio”, produced by Le Groupe de Recherches et d’Essais Cinématographiques. Influenced by the film Motu Proprio, her pictorial work concentrates on the practice of ink drawing on paper. Thereby, she launched a series of large formats.
Her work has been shown at la Fondation Cartier and Centre Pompidou in Paris.
She exhibited her work in several solo and group shows in France, Sweden and USA.
Besides her plastic work, MC is working on fiction and documentaries film projects for which she has received two writing grants from La Scam and CICLIC, in France.
L’artiste et cinéaste, franco-suédoise Marie-Cerise vit et travaille entre Paris et New York.
Diplômée des Beaux-Arts de Paris en 1999, elle a fréquenté l’atelier de Jean-Michel Alberola.
MC reçoit son second Master de recherche chorégraphique au Centre National de Danse Contemporaine d’Angers.
Invité pour une année, elle étudie à l’Institut Royal d’Art de Stockholm pour la création d’un projet d’animation.
A partir de l’équation image + mouvement, MC recherche une convergence entre le mouvement et son travail pictural. Elle réalise un court métrage expérimental, documentaire et d’animation Motu Proprio, produit par le Groupe de Recherches et d’Essais cinématographiques. Influencé par le film Motu Proprio, son travail pictural se concentre sur la pratique du dessin à l'encre sur papier. Ainsi, elle a lancé une série de grands formats.
Son travail a été présenté à la Fondation Cartier et au Centre Pompidou.
Elle a participé à plusieurs expositions personnelles et collectives en France, en Suède et aux USA.
De part un projet de court-métrage de fiction, Marie-Cerise développe actuellement l’écriture d’un documentaire de création et d’animation pour lequel elle a reçu l’aide à l’écriture Brouillon d’un rêve de la SCAM et l’aide à l’écriture de CICLIC Région Centre - Val de Loire.
« I am committed to the process of my plastic work, using a serial and repetitive method.. The mediums are interchangeable, my practice extends from drawing to film, within remaining themes.

Drawing, painting and filmmaking are for me mediums allowing me to digest, to assimilate what I observe, to interfere between reality and perception in an evolutional relationship.
Through the filter of my idiosyncrasy, I connect points and try to link the phenomenon to the illusion. This slight alteration in the nature of reality enables me to detect the elusive through an articulation of the visible and the invisible.Within this action, I incorporate movement into this interval, and the external proprioception moves the viewer and reveals a content where new coexistences are formed.
Drawing, video, are ways to depicting the invisibility of time and note its space. This process involves experimentation. The transformation stretches like an elastic paste. I build a permeable surface by flattening fragmented spaces.

In the development of these protean compositions; I draw attention to our relationship with time and nature. I question the conceptions of the present time and the perception of the real. The nature represented between reality and imagination is tranquil, ethereal, and sensual. I knot it with a phantasmal visual of brain activity. The figures depicted are in a movement, a state of being suspended in an environment where interiors/exteriors spaces merge. »
« Je m'engage dans le processus de mon travail plastique, en utilisant un schéma sériel et répétitif. Les mediums sont permutables, ma pratique s'étend du dessin au film, au sein de thématiques subsistantes.
Dessiner, peindre et filmer sont pour moi des dispositifs me permettant de digérer, d’assimiler ce que j’observe, de m’immiscer entre la réalité et la perception dans une relation évolutive.
A travers le filtre de mon idiosyncrasie, je connecte des points et tente de relier le phénomène à l’illusion. La nature de la réalité en est ainsi légèrement altérée et ce décalage me permet de déceler l’insaisissable dans une articulation du visible et de l’invisible. Par cette action, j’incorpore dans cet intervalle un mouvement _ cette “cinesthésie” déplace le regardeur et donne à voir un contenu où se forment de nouvelles coexistences.
Le dessin, la video, sont des moyens de mettre en image l’invisibilité du temps et noter son espace. Ce processus engage une expérimentation. La transformation s’étire comme une pâte élastique. Je construis une surface perméable en mettant à plat des espaces morcelés.
Dans le développement de ces compositions protéiformes; j’attire l’attention sur notre relation avec le temps et la nature. J’interroge les conceptions du temps présent et la perception du réel. La nature représentée entre réalité et imagination est paisible, éthérée et sensuelle. Elle se noue avec un visuel onirique de l’activité cérébrale. Les personnages figurés sont dans un mouvement, un état d’être en suspension dans un environnement où les espaces intérieurs/extérieurs se confondent. »

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